le bouton
obtenteur malicieux dans le prisme delicieux d’un intrigant aveu
un bouton renflé comme une rose de thé,que ma langue aime lecher
l’ouie et l’odorat en paralléle c’est la loi,parfois avocat qui tranche
verdict sur nos ebats
obtenteur malicieux dans le prisme delicieux d’un intrigant aveu
un bouton renflé comme une rose de thé,que ma langue aime lecher
l’ouie et l’odorat en paralléle c’est la loi,parfois avocat qui tranche
verdict sur nos ebats
j’accorde une place infini aux espoirs, eclairs de réactions chimique qui bouleversent mes atomes,sont-ce des regarts juteux comme le raisin
de virtuoses négotiations remplies d’éphémeres silences,la vie mise en commun,assis sur un pot-en-ciel d’inédit
le peuple ombre posséde un territoire que les hommes la-bas nomment songe
echoué sur le sable le corps meurtri du naufrage , je me réveillais une vague cinglant mon visage,en loque le soleil écrasant d’amertume
les sens en deroute ,le coeur qui defraye, prendre une décision devenir un homme du peuple ombre
en panicule tendre j’attendais petit grain d’amour a la beauté sculpté
némésia en calice fleur de sainteté
femme mandala que glycine m’envoya
un entétant parfum,datura népalais te vas si bien porté
femme fleur d’aurore boréale,j’écoutais ton coeur régulier battre l’été
amoureux du delice jasmin en rosée
les plaisirs solitaire ,onirique;onanisme que l’on pratiquent les yeux clos
sans un cris sans un mot
les plaisirs solitaire s’inscrivent sur ma peau en sanscrit en sténo
je donnerai cher pour qu’ils s’évaporent obsessions qui devorent
et lequels d’entre-nous n’a pas un jour appelés sa main -MON AMOUR-
a des lunes tel que les anneaux du dahlia géant semblent etre le
squelette d’un baiser laissé choir sur la joue du vent
au réveil je devinais la paresse de mes levres titubantes ivres sur le trotoire des paupieres ensablées denudées des spasmes oniriques
sourire ; odeur ; demangeaison, beaucoup d’eau sur les cheveux, delta et corail les reste de toi
horizotal puis vertical ,a la dissolution! a la dissolution! crient les deux sucre en tombant dans mon café
lorsque nous decouvrimes le lit de la rivières en le foulant,chasseurs de mystéres guerriers sans bataille, petits-etres, flamboyant d’espoirs
nous n’avions q’un seul but,la possession de nouveaux chemins, de terres
inviolées,progressant lentement quelques- fois avec appréhension parfois
fiers nos eclats de rire faisaient vibrer les roches
nos pantalons relevées jusqu’au genoux que nous remontions inlassablement de peur de l’engeulade et des questions
la famille, la seule famille que nous respections , possedée s’etendée au-dela de notre champ visuel ,un parfum solaire poudroyer sa chevelure son
sourire nous devorer les sens,nos corps offerent a son discour a sa douce carresse , nous avions 10 ans et elle etait a nous LA NATURE
quel estocade! des roux des ocres sales des verts machés des rouges brulants courent sous mes talons et je créve les couches d’epines qui
dardent leurs museaux d’argent, les geysers muets dancent une imperméable litanie, je suis le grain d’ivresse pratiquant domestique
veritable clone imparfait, pourquoi etre unique