fou
j’etais le baroudeur fou des jours d’orages ou mes yeux hypnotisaient les éclairs qui m’allumer l’esprit
totalement flamboyant j’entrais dans les foyers incandescents de mes rêves de pluie
les accords participe des bandonéons défrayaient la chronique dans les journaux a scandales
je partais donc en safari avec mes armes habituelles,sarbacane a lucioles et arcs a fléches de papillons,les autres disaient de moi ‘il est derangé du citron’.
3 commentaires »
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natsu,
j’aimerai bien être dérangé du citron comme ça ! Bravo pour le rythme et bonne continuation.
Nono
Natsu, ta poésie est vraiment incroyable. Tu as des images géniales.
moi j’aime le zeste qui t’anime.
et il ne me dérange pas du tout.