grain d’ivresse
quel estocade! des roux des ocres sales des verts machés des rouges brulants courent sous mes talons et je créve les couches d’epines qui
dardent leurs museaux d’argent, les geysers muets dancent une imperméable litanie, je suis le grain d’ivresse pratiquant domestique
veritable clone imparfait, pourquoi etre unique
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Merci de ton passage sur mes mots
Bravo le tient avance a merveille
Bravo pour les textes c’est très beaux
Helen
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